Après deux ans de pandémie, on observe un lent desserrement des métropoles, mais pas de déferlement vers les campagnes. Ces flux sont principalement le fait de retraités, de salariés en télétravail et de ménages modestes qui veulent se loger à moindres frais.

Les acheteurs plébiscitent la Côte basque, où les prix s'envolent. Plus on s'éloigne de la mer, plus l'immobilier retrouve des valeurs raisonnables. Pour de belles opportunités, direction le Béarn.